Tokyo Fiancée

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Mercredi prochain sort le film « Tokyo Fiancée », adaptation du livre d’Amélie Nothomb « Ni d’Eve, ni d’Adam ».
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Amélie aime le film, comme elle l’indique à metronews :
« Jusque-là, êtes-vous satisfaite des adaptations de vos romans ?
Ça dépend. J’ai eu trois cas. Il y a eu Hygiène de l’assassin (de François Ruggieri avec Jean Yanne et Barbara Schultz, en 1999 – ndlr) : je suis sortie de la salle en courant pour aller pleurer tellement c’était mauvais. Et il y a eu Stupeur et tremblements (de Alain Corneau avec Sylvie Testud, en 2002) et Tokyo Fiancée qui sont des films magnifiques. Au final, je suis comblée parce que j’ai eu droit à deux extases pour une seule consternation. »
J’ai eu l’occasion de voir « Tokyo Fiancée » (que j’ai trouvé divertissant et sympathique) en avant-première au MK2 Bibliothèque. Cerise sur le gâteau : l’avant-première était en présence du réalisateur Stéphane Liberski et de l’actrice principale, Pauline Etienne.
Au milieu du film, il y a une chanson qui semble sortie de nulle part (pour le coup que j’ai jugé assez… nase !). Lors de la discussion, après le film, un spectateur a demandé d’où est venue cette idée d’allusion à l’Eurovision. Pour ceux qui ne le savaient pas, Pauline Etienne a alors expliqué que la chanson présente dans le film est une reprise du titre « J’aime la vie » avec des paroles modifiées.
« J’aime la vie » : interprétée par Sandra Kim en 1986, cette chanson a permis à la Belgique de terminer à la première place de l’Eurovision pour la première (et unique) fois.
Pauline Etienne a indiqué : « Il faut aller voir, parce que ça vaut le détour ».
Alors voilà :

Quittons la musique. Voici l’amusante première phrase du livre « Ni d’Eve, ni d’Adam » :
« Le moyen le plus efficace d’apprendre le japonais me parut d’enseigner le français ».
Quant au film « Tokyo Fiancée », il se termine par un carton reprenant la première phrase du livre « La nostalgie heureuse » (toujours de Nothomb) :

« Tout ce que l’on aime devient une fiction »

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