La Batmobile a fait un arrêt au Galerie Lafayette des Champs Elysées, à l’occasion des 80 ans de Batman !
Batman
√Auchan
Alors, c’est fini et il n’y a plus rien à gagner, mais voici un concours qu’avait proposé Auchan :
Vous avez trouvé la réponse ?
… 9 ?
Dans un premier temps, je n’avais pas été très attentif et je n’avais pas fait attention que pour la dernière ligne, il y a une souris et pas deux !!
Le gagnant du concours était tiré au sort parmi les bonnes réponses et remportait un ordinateur. Plusieurs milliers de personnes ont donné comme réponse « 9 ». Sauf une personne qui a répondu 9,414. Et ce n’est pas lui qui a remporté le prix… Il a fait un procès à Auchan et, au final, la justice lui a donné raison 😉
Pour reprendre les choses dans l’ordre, je suis d’abord tombé sur cet article :
mais le concours en question n’y figurait pas. J’ai trouvé celui-ci ici :
avec l’explication :
» Pour Valentin Desgranges, le résultat est 8+√2, soit environ 9,414. Un résultat qu’il justifie par une erreur d’écriture de l’énoncé avec les deux souris côte à côte car « il n’y a aucun signe entre les souris donc elles se multiplient entre elles » «
Plutôt amusant !!
Alors, pourquoi une absence de symbole serait une multiplication ? Allez savoir, mais wikipedia confirme 😉 : » La multiplication est l’une des quatre opérations de l’arithmétique élémentaire avec l’addition, la soustraction et la division. Cette opération est souvent notée avec la croix de multiplication « × », mais peut aussi être notée par d’autres symboles (par exemple le point médian « · ») ou par l’absence de symbole «
Vie Varda
Voici une sympathique chanson de Vincent Delerm, en hommage à Agnès Varda :
Deville
Encore un peu de Michel Deville, avec trois haïkus issus du livre « Les haïkus du loup hilare » où l’on trouve textes et photos de l’auteur.
Quelques captures d’écrans à présent : sur un poste de consultation de DVD à la bibliothèque François Truffaut, j’ai regardé le film « Péril en la demeure » de Deville (les captures qui suivent sont de qualité médiocre, parce que c’est l’écran qui est pris en photo !). Voici l’état du frigo du personnage principal :
Un état qui a pu, parfois, se rapprocher de mon propre frigo !…
Sans avoir trop de choix pour le menu, le personnage se fait à manger :
Par contre, il ne m’est jamais arrivé que, faute de pain, j’utilise pour pousser dans mon assiette…
…des carrés de chocolat !!
L’air de rien
En mai dernier, la Cinémathèque Française a consacré une rétrospective à Michel Deville. Je n’avais vu que peu de films de ce réalisateur. Lors de la rétro, j’ai ainsi pu découvrir quelques long métrages (pas autant que j’aurais voulu : au mois de mai, il y avait aussi plusieurs films présentés au Festival de Cannes qui sortaient sur les écrans !).
Du coup, plus tard, j’ai vu d’autres films de Deville en les empruntant à la médiathèque. Comme, par exemple, « Le Mouton enragé » datant de 1974.
Dans le film, un couple habite à Meudon. Amusant de voir un des personnages s’y rendre :
Et quelques vues dans la ville :
Michel Deville n’était pas présent lors de la rétropective. Sa femme, et collaboratrice, a dit qu’il ne tenait pas à se déplacer (mais que si on voulait passer le voir chez lui, la porte était ouverte !).
En visionnant des bonus de DVD où il est interviewé, on peut constater que le réalisateur a beaucoup d’humour…
Lors de cette rétro, j’ai également appris que Michel Deville écrivait des poèmes, eux aussi souvent drôles.
Comme celui-ci, issu de « Vous désirez ? » :
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Le cyclope
On dira ce qu’on veut,
Qu’il est sot, qu’il est laid,
Qu’il pue, qu’il est baveux
Ou bien qu’il effarouche,
On ne dira jamais
Que le cyclope louche
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Michel Deville a écrit plusieurs recueils, la plupart épuisés. J’en ai emprunté deux, dans la réserve de la Bibliothèque François Truffaut :
En voici des passages :
Bouddha
Voici quelques photos de l’exposition « Bouddha » qui se tient au musée Guimet :
Mocky
R.I.P… Jean-Pierre Mocky est mort le 8 août 2019. A 90 ou 86 ans (au cours de sa vie, il a modifié sa date de naissance. Il a expliqué qu’il a du se vieillir de 4 ans, quand il avait 11 ans, afin d’être autorisé de prendre un bateau seul. Ou des fois, il expliquait autre chose !).
J’avais pu l’écouter à Liège, après une projection, dans un bar, du film « La machine à découdre ». Il était venu discuter avec le public.
A Paris j’étais allé dans son cinéma, Le Despérado, je crois que c’était en 2011 pour le film « A votre bon coeur Mesdames ». Il n’y avait pas beaucoup de monde dans la salle, et Mocky, qui présentait le film, s’étonnait qu’il y ait des gens, en se demandant comment cela se faisait qu’on soit là puisqu’il n’y avait pas d’affiche annonçant la sortie de son film, puisqu’il n’avait pas d’argent pour la promotion !
En 2014, il y a eu une rétrospective Mocky à la cinémathéque française. Il est venu présenté plusieurs films, dont Solo.
J’avais acheté un coffret de ses films (je ne les ai pas encore tous vu !) et lui avait demandé une dédicace :
Sinon, chose amusante, le verbe « draguer » dans le sens de séduction vient d’un film de Mocky !
Un Tour dans la forêt de Meudon
The South of France
Il y a quelques temps, j’ai eu l’occasion de voir en avant-première le nouveau film de Woody Allen : « A Rainy Day in New-York » (le film a été tourné il y a deux ans, mais faute de distributeur il n’était pas arrivé jusqu’aux salles). Il sera sur les écrans en France le 18 septembre.
J’ai trouvé le film plaisant, sans qu’il soit renversant. « Déçus en bien », comme diraient les Mauriciens !
J’ai quand même souvent ris, et notamment lors de cette réplique excellente : un des personnages est une journaliste très idiote. On lui propose un voyage dans le Sud de la France, et elle répond : « The where of what ? » (je ne sais plus quel était le sous-titre en Français, mais cela va moins bien rendre qu’en Anglais !).
100 ans de cinéma arc-en-ciel
Une expo à l’Hotel de ville de Paris (en collaboration avec la Cinémathèque Française) :
Almodovar :
Pasolini :
« 8 femmes » de François Ozon :
« Portrait de la jeune fille en feu » de Céline Sciamma :
