Ce dimanche, dans le cadre des journée du Patrimoine, je suis allé à l’Aquarium tropical du Palais de la Porte Dorée. Je ne connaissais pas ce lieu et c’est sympathique !
On y trouve notamment des alligators :
Au départ, j’ai eu du mal à les repérer dans l’enclos…
J’ai fini par les trouver, sous la cascade…
Il y a bien sûr beaucoup de variétés de poissons. Et, dans une partie du lieu, un espace est temporairement consacré à une exposition de photos sur le film « L’ODYSSEE ».
Avec aussi, sur grand écran, diverses bande-annonces du film.
Ensuite, je suis alllé à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé. J’y étais déjà allé deux fois (pour l’expo permanente, et pour une projection) mais je n’avais pas encore eu l’occasion de voir le dernier étage, qui n’est pas pas banal :
Plus bas, un étage est consacré aux anciennes caméras :
Au rendez-de-chaussée, on pouvait découvrir différents plans, maquettes et photos du bâtiment :
Auteur/autrice : FM Pilote
Ozon
J’ai bien apprécié le nouveau film de François Ozon, « Frantz ».
Un personnage a pour poète favori Paul Verlaine (1844-1896), et à un moment donné du film est récité « Chanson d’automne ».
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon coeur
D’une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l’heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Je croyais alors entendre, en échos, une chanson de Serge Gainsbourg !!
Réécoutant la chanson, je suis admiratif du travail de citation/recréation de Gainsbourg 🙂
Oz
Ce samedi, il y a avait au « Festival de l’Etrange » une scéance dont je me demandais quel serait son contenu. On pouvait lire sur le programme :
LE CRYPTOCINÉMA DE JODOROWKY
Samedi 10 septembre 2016 à 15h30, Forum des Images, salle 300
En 2010, le réalisateur de El Topo, Santa Sangre et La Montage sacrée venait présenter à L’Étrange Festival une carte blanche forcément hallucinante et hallucinée. À cette occasion, il avait choisi de décoder pour nous sous le prisme de son regard mystique un classique du cinéma, qui prenait ainsi un sens nouveau. À l’occasion de la programmation cette année de Poésie sans fin, sa dernière réalisation, c’est avec plaisir que nous vous proposons une nouvelle fois cette crypto-séance du maître de cérémonie Alejandro Jodorowsky, qui s’annonce déjà comme un des moments les plus attendus de cette édition.
Surprise, surprise donc… et je n’ai pas été déçu, la séance était excellente. Jodorowsky s’est lancé dans une analyse ésotérique du film « Le magicien d’Oz » (de 1939).
C’est un film que je connais bien (et j’ai aussi lu le roman). L’ésotérisme, je connais moins !… Jodorowsky a été très pédagogique, drôle, intéressant. J’ai appris que nous étions constitué de sept parties principales. Jodo nous a demandé d’y croire juste le temps de la séance, après on pouvait ne plus y croire ;). Il a aussi lu deux extraits de la Bible, nous a montré des cartes de tarot, le MAT notamment :
qui a des chaussures rouges comme Dorothy (qui dans le film chausse des souliers « rubis »), avec la présence d’un chien également (l’égo de Dorothy, qu’elle doit dompter).
Une analyse au fil d’extraits du film.
Il y a eu le temps de quelques questions à la fin. Un spectateur a indiqué qu’il existe une analyse du film faisant un parallèle avec la crise de 1890, et il demandait si Jodorowsky la connaissait et ce qu’il en pensait. Jodorowsky, qui parle très bien français, a répondu : « La vérité a un parallèle avec tout » 😉
Expos, Sonita, etc.
Un samedi bien rempli ce 3 septembre : je me suis réveillé tôt et, ne me rendormant pas de suite, j’ai dès 6h du matin sauvé le monde en finissant le jeu « Goldeneye » sur PS3.
En début d’après-midi, j’ai fait un tour dans l’exposition Sèvres Outdoors où j’ai surtout apprécié cette oeuvre (qui ondulait sous l’effet du vent) :
D’après le panneau qui suit, une oeuvre devait être un porte-monnaie en bronze que l’on devait être tenter de toucher et de ramasser, sans pouvoir y parvenir…
… mais une personne a du arriver à ses fins, car pas de trace de porte-monnaie autour du panneau !!!
J’ai fait aussi un tour rapide dans l’expo Electrosound à la Fondation EDF, où on trouve un Atari ST (la dernière fois que j’avais vu un Atari dans une expo, c’était à l’IMA).
Oeuvre amusante dans l’exposition : faire de la musique en touchant de la gelée :
Ensuite, un peu plus d’une heure de queue au Forum des Images pour prendre des places pour le Festival de l’Etrange. J’avais essayé de le faire via Internet mais le site était saturé : les billets étaient disponibles à partir de 14h ce jour sur le net (en théorie) ou sur place (en étant patient).
18 séances à venir !! (sur 12 jours, entre les 7 et 18 septembre)
(je viens de masquer les code-barres, on ne sait jamais 😉 )
Puis près des Halles, j’ai acheté deux livres d’occasion (je les lirai quand j’aurais vu les films qui les ont adaptés).
Et un autre livre beaucoup plus volumineux dans la librairie de Beaubourg (faudra que je fasse du vide !). Ouvrage soldé à 15 Euros au lieu de 50 !
Toujours dans Beaubourg, j’ai fait un tour dans l’expo Beat Generation. Une exposition qui ne m’a pas plus inspiré que ça, mais par contre j’ai trouvé rigolo de pouvoir observer le rouleau de 36 mètres sur lequel Kerouac a écrit son roman « Sur la route » (photos interdites normalement… mais les gens exposés ne semblent pas avoir respecté tous les « interdits » !!)
Le début :
La fin :
Enfin, retour au Forum des Images, pour la présentation de la saison 2016-2017, et avant-première du film « Sonita » :
L’histoire d’une adolescente qui, en Iran, veut devenir rappeuse. Je ne savais pas si j’allais accrocher au film, et cela a été le cas. Formidable documentaire qui sort le 12 octobre.
Ne… pas…
Headhunters
Ce mercredi soir, à 23h20, passe sur Arte l’excellent thriller « Headhunters« .
Il n’est pas sorti au cinéma en France. J’avais eu l’occasion de le découvrir lors de la séance d’ouverture de l’Etrange Festival, édition 2012 (et le film avait remporté le prix du public).
The Last House of the left
Il y a quelques mois, j’ai emprunté à la Médiathèque un remake du film de Wes Craven, « La dernière maison sur la gauche » (réalisé par Dennis Iliadis, sorti en 2009).
Bonne surprise, j’ai trouvé le film très réussi.
J’ai ensuite regardé le film original de Wes Craven (son premier film, en 1972). J’ai seulement trouvé une copie de mauvaise qualité sur Youtube. Je pensais le revoir lors de la rétrospective Wes Craven à la Cinémathèque Française en juin et juillet, mais je n’en ai finalement pas eu l’occasion.
Dans le générique, Wes Craven indique que le film est inspiré par un film de Bergman, « La Source » (1960).
J’ai été surpris de lire le nom d’Ingmar Bergman comme inspiration du film de Wes Craven ! Du coup, j’ai regardé le film « La Source » et en effet il y a une trame que l’on retrouve dans « La Dernière Maison sur la gauche ».
Et dans le générique du film « La Source », on peut lire que l’histoire est inspiré d’un conte médiéval. On peut lire dans Wikipedia : « Le film repose sur un scénario entièrement écrit par la romancière suédoise Ulla Isaksson. […] Avec La Source, elle fait l’adaptation d’un conte médiéval, originellement intitulé « La fille de Töre à Vänge »« .
Je serai curieux de lire ce conte, mais je ne l’ai pas encore trouvé !
Shopping
Week-end anglais pour le 15 août. Sur Londres, côté musée, je n’ai eu le temps que de faire un petit tour à la National Gallery.
Trop de shopping en effet 😉
Avec des soldes imbattables à l’étage du sous-sol de l’excellent magasin « Fobidden Planet »
Voici, en grande partie, le résultat de la « pêche » du jour :
Auparavant, à Foyles, j’étais tombé sur un nouveau livre de l’auteur d' »Hugo Cabret » :
Et après « Fobbiden Planet », à cinq minutes de là sur la même rue, nouvelle halte dans un magasin de DVD et BluRay :
4 films Anglais (que je ne connais pas, mais cela sera l’occasion de les découvrir), pour 3 pounds.
J’avais déjà « I, Robot » en DVD, mais pas en BluRay 3D !
Là encore, j’avais déjà le DVD… mais je me suis dis qu’il y avait peut-être des bonus que je n’avais pas (et en fait, non ;)) <= update : en fait, si, il y a quelques bonus en plus (et en moins aussi). Par contre ce qui est dommage, c’est l’absence de sous-titres français alors qu’il y a des sous-titres Italien, Espagnol, Danois, Norvégien, etc…
Et pour finir, un film Français :
Prix SNCF du polar
Dans une des pages du magasine « Studio Ciné Live », j’ai découvert n’existence d’un Prix SNCF du Polar pour notamment des court-métrages. Le court métrage primé cette année s’appelle « Mr Invisible ». Il est visible sur le net (nb : et on peut sélectionner la qualité HD) :
https://www.youtube.com/watch?v=4wMex5wi7s8
Etrange court-métrage (de 14 minutes). Comme l’indiquait son réalisateur dans l’interview du journal, le voir deux fois est intéressant.
Voici l’interview du réalisateur du court-métrage (une page du « Studio Ciné Live » du mois, en partenariat avec la SNCF) :
Oups
Hier j’ai visité l’expo James Bond (elle vient de Londres, où elle a été crée, mais à Paris ils ont ajouté une partie pour le dernier film en date « Spectre »).
Ce dimanche, je me suis dis que j’allais regarder un des James Bond que ne j’ai encore vu (ou je l’ai vu mais il y a tellement longtemps que j’ai oublié) : « Rien que pour vos yeux » (nb : les yeux de Carole Bouquet…).
Une fois où j’étais allé à Londres, j’avais acheté en solde le Blu-ray de « For your eyes only ».
Je tente d’ouvrir le boiter : impossible.
Il y a une protection que le magasin (« HMV » pour ne pas le citer) ne m’a pas enlevée lors de l’achat :
Ok… je prends un cutter et je découpe le côté du boitier :
Le boitier ouvert, impossible d’enlever le Blu-ray !! La même protection qui gardait le boitier fermé, empêchait maintenant de faire pression à l’endroit où on appuie pour éjecter le disque. Une barre rouge en plastique traversait la longueur du boitier (déjà plus présente sur la photo ci-dessous).
Je ne souhaitais pas complètement bousiller le boitier (pour le garder comme rangement du Blu-ray) alors je l’ai découpé en partie. J’ai coupé ensuite la barre rouge d’un des côtés de l’endroit de l’ouverture, et je m’attaquais ensuite à l’autre côté. Pas évident parce que la barre de plastique était dure.
Laborieusement, je progressais… et là, c’est le drame. Alors que je ne voulais rien couper d’autre que le plastique rouge, ça dérape et coup de cutter sur le Blu-ray.
Autant dire que je ne n’étais pas très content.
Je teste le Blu-ray… et ça avait l’air d’aller (??).
Du coup, j’ai regardé le film en entier, aucun problème de lecture (nb : le film n’est pas terrible à mes yeux. Pas le meilleur des James Bond, un peu trop long et mollasson).
Donc, malgré un coup de cutter, les Blu-ray se lisent très bien ! Ce qui ne doit pas être le cas des DVD, parce que j’en ai emprunté en médiathèque qui avaient des rayures et la lecture débloquait.